Description
Dénommé Esprit du mal, Prince des ténèbres, Belzébuth, l’accusateur, l’adversaire, le prince de ce monde, le dieu de ce siècle, le diable, le père du mensonge, c’est un être spirituel bien réel. Il fut un ange créé parfait par Dieu, mais il se rebella contre Lui, voulant dominer les humains à sa place.
Il mentit à Ève au jardin d’Éden et la provoqua afin qu’elle pèche contre Dieu. Ève ne fut pas la seule à tomber dans le piège tendu de la rébellion, de l’opposition à Dieu ; Adam, son mari, la suivit ; ainsi que chacun de leurs descendants. De génération en génération, d’âme en âme, jusqu’à aujourd’hui, l’ennemi de Dieu, le diable a toujours proposé aux humains et leur propose encore de se rebeller contre Lui.
Ainsi, ce n’est pas Dieu qui, dès le Commencement, voulut exclure les humains de sa formidable alliance d’amour paternel ; c’est eux-mêmes, qui, délibérément, suivant les injonctions de Satan, s’en séparèrent. Alors qu’une vie éternelle d’intimité avec Dieu leur était offerte en échange de leur filiation obéissante, ils préférèrent s’y soustraire. C’est ainsi que la séparation d’avec tous les bénéfices de l’Alliance leur apporta détriments, chagrin, culpabilité, honte, effroi et mort.
Si Dieu n’avait pas pour ses créatures un Amour Absolu, Satan aurait gagné, enchaînant toutes les âmes de tous les humains, de toutes les générations, à son service.
COMMENT DIEU A RIDICULISE SATAN ET ANÉANTI SON PLAN DIABOLIQUE
Le plan que Satan poursuivait en proposant à tous les hommes et toutes les femmes de la terre de désobéir aux lois de Dieu, que ce soit en les niant, que ce soit en les reconnaissant mais en s’y opposant, c’était, après les avoir faits trébucher et mourir, de les entraîner dans sa perdition.
Faire tomber JéSUS, le fils de Dieu, lors de son séjour accepté sur la terre, dans ce même scénario d’orgueil, d’opposition et de chute, c’est ce à quoi Satan, avec toutes ses armées, s’engagea : de tout son pouvoir, de toutes ses forces, avec toutes ses stratégies suaves et perfides.
Peine perdue. Pas une seule fois de sa vie terrestre, Jésus ne désobéit à Dieu pour obéir à Satan, quelle qu’ait pu être l’énormité de la pression exercée. Aussi, est-ce sa rage criminelle que ce dernier se plût à déverser sur Lui, en le faisant passer par toutes sortes de tentations, de pièges ; en lui faisant subir méchancetés, abandons, calomnies, moqueries, souffrances morales et physiques ; en se servant évidemment d’hommes et de femmes bien en chair comme nous pour y parvenir. Rappelons-nous les acteurs et les scènes de toutes ces machinations à l’encontre de Jésus relatées dans les évangiles, avec pour aboutissement son procès inique, son jugement truqué, sa condamnation publique, ses emprisonnements, ses tortures, sa mise au nombre des malfaiteurs, et sa mort par crucifixion. Malgré toutes ces flèches, JéSUS N’A JAMAIS PéCHé 3a, 3b. En tant que fils de Dieu lui-même, paré de tous les attributs de l’excellence et de la puissance, Jésus aurait très bien pu se soustraire à tout cela. Tout comme il était né de façon surnaturelle, Il aurait pu vivre ses années sur terre en super-héros intouchable, indestructible ; et miraculeusement monter au ciel sans passer par le tombeau, ayant fait ricocher une à une tout aussi miraculeusement les innombrables flèches de son Ennemi juré. Pourtant, Il ne l’a pas fait.
C’est dans une entière soumission et obéissance (non-violente) à la volonté de Dieu son Père que Jésus a accepté d’être moqué, haï, rejeté, accusé à tort, mis en procès à tort, jugé à tort, condamné à tort au supplice et aux affres de la mort et de l’ensevelissement. Lui qui (dans sa divinité) n’avait jamais commis aucun péché, n’était tombé dans aucun des traquenards tendus par Satan (contrairement à nous et au reste de l’humanité) et qui donc ne méritait aucunement la mort (comme résultante de nombreux péchés commis) l’a volontairement subie (dans son humanité) pour, s’associant à la nôtre, l’abolir.
Ce que Dieu Lui a accordé en Le ressuscitant. Si Jésus n’était pas passé par la mort, le tombeau, la résurrection et la glorification, quelle espérance aurions-nous ? Aucune. Nous mourrions dans nos péchés et rejoindrions l’auteur avéré de notre corruption, point ! Mais la Bible nous atteste que comme Dieu a ressuscité Son Bien-Aimé Fils, et comme, Élevé, Glorieux, Il est vivant aux siècles des siècles, il en sera de même pour chacun d’entre nous. C’est un cadeau. Non pas une récompense due à un quelconque mérite ou à une tentative perfectible venant de notre part, mais par profusion de l’amour divin en adéquation à la vie parfaite et irrépréhensible de Jésus.
La Bible nous atteste que dès Adam, le péché, la mort, l’enfer et la séparation d’avec Dieu (désirée par Satan) pour les humains sont entrés dans le monde, mais qu’en Jésus, dès l’origine et jusqu’à la fin des temps ces paramètres ont perdu la partie. D’où l’importance de nous positionner quant à l’acceptation de ce salut gratuit et quant à l’admission de ce Sauveur dans nos vies.
Que pourrait-on réclamer à Dieu en plus de cette mise à zéro de notre dette face aux insultes que nous avons tous et toutes commises à son égard ? Que pourrait-on requérir en plus de son projet merveilleux et constant de nous réintégrer dans Sa Gloire ? Que pourrait-on obtenir de plus avantageux que cette réhabilitation gratuite de notre position en tant que ses fils et ses filles, à l’égal de son divin Fils ?
Exhortation à la conversion
Pour vous, cher lecteur qui, au Nom Puissant de Jésus ressuscité, avez envie d’accepter ce salut pour votre vie entière, présente et éternelle, un exemple de prière que vous pouvez formuler aussi avec vos mots à vous.
« Seigneur Jésus, tel que je suis, avec le fardeau de mon passé, de mes péchés, de ma méchanceté, de mes échecs, de mes limites, de mes tourments, de mes inquiétudes, je viens à Vous pour être sauvé car Votre Parole me dit dans le livre des Actes au chapitre 4, au verset 12 qu’il n’y a aucun Nom donné sous les cieux que Le Vôtre par lequel je puisse l’être.
Comme vous avez pardonné à tous ceux qui, sous l’emprise de Satan, vous ont haï, accusé faussement, mis sur la croix, fait mourir, je sais que vous avez le pouvoir de m’accorder votre pardon car moi aussi, tout comme eux, dans ma vie, je ne vous ai pas suivi, ni Vous, ni Dieu votre Père, je ne vous ai pas obéi, je ne vous ai pas cru, je me suis moqué, j’ai été rebelle, je n’en ai fait qu’à ma tête et j’ai récolté à cause de tout cela et des nombreux péchés que j’ai commis, de nombreux détriments.
Faites de moi, avec tout mon assentiment, une créature telle que vous l’avez toujours désirée : réconciliée, merveilleuse, pure, belle, sainte, agréable et parfaite dès aujourd’hui et pour l’éternité. Et veuillez me donner, pour ma marche en nouveauté de vie avec Vous et Dieu Votre Père cette Eau vive pour mon âme que vous dispensez à tous ceux et celles qui viennent gratuitement boire à Votre Source et deviennent membres de Votre famille : le Secours permanent de votre Saint Esprit. Amen »